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Une petite histoire de PI 3.14

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Message  Plume Mer 3 Juil 2019 - 10:40

3,141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 502 884 197 169 399 375 105 820 974 944 592 307 816 406 28....et la suite

Le symbole de PI en grec, correspond à la première lettre du mot "PERIPHEREIA" qui signifie "CONTOUR " . Découvert en 1855, le papyrus égyptien de Rhind contient le texte, recopié vers l'an 1650 avant notre ère par le scribe égyptien Ahmès, d'un manuel de problèmes pédagogique. On trouve trace d'un calcul qui implique que p est évalué à (16/9)2 (soit 3,160...). On retrouve le nombre du CERCLE
dans le construction des pyramides comme dans de nombreux monuments.

Le nombre PI est à la base du site de Stonehenge.

Les voisins Babyloniens calculaient généralement l'aire d'un CERCLE en prenant trois fois le carré de son rayon (=3), mais une tablette babylonienne en écriture cunéiforme découverte en 1936 indique une valeur de 3,125 pour PI. C'est la plus ancienne valeur de PI dont la véracité est attestée (2000 av. J.-C.). Ainsi, les Egyptiens puis les Babyloniens calculent en comparant le périmètre du CERCLE avec celui de l'hexagone inscrit, égal à trois fois le diamètre : PI : p = 3 + (1/8), soit 3,125. On retrouve ce nombre dans les coudées et les mathématiques de l'Egypte antique.

PI
est en mathématiques, un nombre réel correspondant au rapport de la circonférence du cercle à la longueur de son diamètre. Comme nous le savons tous PI est un moyen de mesure le cercle : 360.

Dans la pratique courante, on utilise généralement sa valeur approchée par défaut c'est-à-dire 3,14 car le nombre PI n'est pas constructible et donc on ne peut pas le prononcer ! Pi est à l'origine de 3 figures planes de même nature :
TRIANGLE, HEXAGONE et CERCLE : la TRINITE parfaite que représente le "Y" du cube.

Le symbole de Pi (une arche) a été introduit par le mathématicien anglais William Jones en 1706. Ce symbole a été adopté par Euler en 1737 et est devenu le symbole standard pour PI . Le nombre est depuis fort longtemps utilisé dans toutes les religions et toutes sortes de recherches scientifiques, il permit à l'Homme, d'évoluer dans la voie de la science. Deux passages de la Bible datés aux alentours de 550 av. J.-C. utilisent implicitement la valeur PI = 3 . Mais certaines personnes ont cherché une valeur plus précise pour obtenir 3,141509.

Ainsi, pour le kabbaliste DIEU se sert de PI pour créer son univers. Les 22 lettres hébraïques créées et le 7 de la création. 22/7 = 3,14285. De 1 à 9 la lettre PI est égale à 2160.. Une ère zodiacale (astrologique) est donc égale à 2160 années circa.
On retrouve également l'ère du zodiaque en multipliant 6 x 6 x 6 ou en faisant la somme des nombres de 1 à 36.
1 + 2 + 3 + 4 ................

Le 666 n'a donc rien de diabolique, c'est le ZODIAQUE en gématrie, le CERCLE et, l'ARBRE DE VIE, la base de notre système politique et religieux qui peut devenir une prison pour notre esprit quand il est manipulé. Le fait que les constellations occupent des portions plus ou moins grandes que 30 degrés sur l'écliptique est traité de différentes manières selon les auteurs.

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Message  Francesca Mer 3 Juil 2019 - 16:20

Merci beaucoup pour ces connaissances Plume.... je n'avais encore jamais vu cela sous cet angle. Merci de nous avoir ouvert les yeux sur le sujet cheers

Pour ma part je m'étais plutôt intéressée au sens de PI dans les Hexagrammes du TAO Wink
pour souvenir voici la version en son sens général


Une petite histoire de PI 3.14  Pi_hex10


8 – PI: LA CONCORDE, LA SOLIDARITÉ


Sens général de PI :

Les eaux, au-dessus de la terre, coulent dans le même sens, s’unissent pour donner fleuves et rivières. Entre l’eau et la terre, il n’existe qu’un lien étroit; c’est ici l’exemple de la solidarité. Il y a un sens de rapprochement (qui s’effectue autour du 5eme trait, seul trait yang de l’hexagramme sacré). Un point d’appui va donc se présenter, qui peut être le Consultant lui-même, auprès duquel les autres se rassembleront, ou, plus volontiers, une association, un parti, etc… un groupe ou il doit entrer et oeuvrer. Il est recommandé de demander à l’oracle ce que sera ce pivot, tout dépendant de lui.


Sens essentiel:
Le regroupement, les partis, les groupes, le rapprochement, l’assistance, les associations, les unions. Les organismes sociaux. La politique.


Sens par rapport aux autres traits :
Venant après les masses, la concorde, la solidarité, représente quelque chose à la fois de nécessaire, de conseillé et de joyeux.



Jugement :
Sonder l’oracle une fois encore pour savoir s’il existe durée et persévérance. Qui vient trop tard au rassemblement trouve l’infortune.

DÉVELOPPEMENT DES TRAITS

SIX au commencement : Nouer des relations sincères grâce, non aux paroles, mais du fait de sa propre force morale. Ne pas aller trop vite.

SIX à la deuxième place : Des invites seront faites; bien les examiner avant d’y répondre.

SIX à la troisième place : Ne fréquenter que ses pairs. Se méfier d’un nouveau milieu qui ne nous conviendrait en rien.

SIX à la quatrième place: Une association est conseillée. Elle sera bénéfique à cause de la force de l’associé (e).

NEUF à la cinquième place : Présage de laisser aller et venir à soi. On attirera les autres par sa sincérité. De toute façon, l’association sera excellente. Sens de promotion et de notoriété à venir.

SIX en haut : Difficulté, désunion, divorce, rupture d’une association. Il est impossible, pour l’instant, de trouver la solidarité chez autrui.



Guide pratique de PI:

1. Si l’on obtient PI, LA CONCORDE, LA SOLIDARITÉ, dans une question intéressant l’amour – ceci signifie, sous réserve naturellement des éventuels traits qui peuvent se transformer et modifier du tout au tout le résultat – une liaison évoluant vers le mariage ou un renforcement. On pourra travailler ou collaborer avec la personne en cause.

2. Affaires entreprises : Collaboration et bonne association.

3. Voyages, changements : Bénéfiques. Les accepter.

4. Santé : Bon pronostic.

Note spéciale : Hexagramme sacré demandant une extrême sincérité. Les amis joueront un rôle important et bénéfique.


confused confused
Je ne sais pas si nous pouvons mettre en rapport ces 2 différentes données symboliques Plume ???

Merci de me dire Une petite histoire de PI 3.14  2758329009

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Message  manwell Mer 3 Juil 2019 - 18:56

Autres curiosités concernant PI que nos scientifiques ont eu du mal à lui donner une valeur fixe et approché.

Au temps des égyptiens,la pyramide de kheops contenait le nombre PI
-le demi-périmètre de la base divisé par la hauteur donné 22/7 donc 3,142857
-le périmètre de la chambre haute

Bien sûr sans oublier l autre constante de l univers PHI=1,618 Que l on retrouve partout dans la pyramide de temps mais surtout partout autour de nous.....

PI est la constante de l univers qui donne une forme a l énergie,PHI est la constante qui harmonise et chez les humain le PSI est ajouté pour expérimenter cette harmonie.....la différence entre PHI et PSI?????
PHI est divin et PSI est humain ,le H dans PHI apporte le divin ,la séparation du subtils et du dense ou manifesté, abraham,le patriarche s appellait au debut abram et son nom prends un H pour s ecrit abraham lorsque "dieu" le proclame patriarche et lui promet une grande descendance.
Et le S de PSI symbolise le parcourt sinueux de l humain a cause de son mental et de ses émotions...

PI et PHI des constantes divines..... Une petite histoire de PI 3.14  2758329009

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Message  Plume Jeu 4 Juil 2019 - 8:57

Je pense surtout qu'il peut effectivement y avoir plusieurs applications.

Pour le TAO, j'ai un jeu mais c'est mon fils qui le possède.

Au cours de TAI CHI CHUAN, lors de stage, le professeur nous avait parlé du TAO et des hexagrammes.

Mais, je ne saurais pas t'en dire davantage. Rolling Eyes Une petite histoire de PI 3.14  2837018037


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Une petite histoire de PI 3.14  Empty Pi est un nombre d’avenir

Message  Stian Jeu 4 Juil 2019 - 11:54

Merci donc à Plume d’avoir ouvert ce thème. Il est toujours intéressant de transmettre ses propres réflexions. Voilà bien longtemps, je m’étais composé une petite synthèse sur Pi. J’ai supprimé ici les notes afin d’en faciliter la lecture.

Pi, un bien curieux nombre

Les décimales de Pi () sont infinies. Cette caractéristique, rare pour un nombre, est assurément un défaut difficile à digérer pour de purs mathématiciens. Et pourtant, ces chercheurs scientifiques attribuent à Pi des qualités multiples. Les qualificatifs ne manquent pas. Parmi les plus importants, Pi est un nombre incommensurable, il est infini, transcendant et même irrationnel.
L'incommensurabilité de Pi a été démontrée par le Français Lambert, en 1768 et, un peu plus tard en 1794, par un de ses compatriotes, Legendre.
La transcendance de Pi a fait l'objet d'une étude par Lindemann, un Allemand, en 1882. Sa thèse précisait surtout l'impossibilité de la quadrature du cercle.
L'irrationalité de Pi résulte des décimales dont la suite est aléatoire, et cela contrairement à la raison. Pi n'est calculable par aucun nombre entier.
Depuis lors, les mathématiciens n'ont eu de cesse d'approfondir la raison de l'existence de cette valeur irrationnelle. À leur actif, il faut leur reconnaître qu'ils n'ont réussi qu'à allonger le nombre de décimales.
En effet, les mille premières décimales de Pi ont été "calculées en 1949 par une machine électronique travaillant en système binaire. Cette machine a prouvé que les décimales qui forment la rotonde d'une salle du Palais de la Découverte, calculées au XVIIè siècle par l'Anglais Shanus, sont fausses à partir du 528è rang."
Parmi les nombres que la science qualifie de transcendants, Pi est celui qui a le plus stimulé la matière grise des mathématiciens. Pourtant, c'est une valeur qui permet de calculer les différentes structures courbes de tout ce que perçoivent les sens et que conçoit l'intellect, que celles-ci soient tracées sur une surface plane ou dans l'espace : arc, cercle, sphère, spirale.
Il ne semble pas que Pi soit une singularité de l'intelligence de l'Homme, en quête de lui-même. La formulation de Pi n'est pas le résultat purement intellectuel, voire ludique de la nature curieuse de l'Homme. L'implication dans la connaissance scientifique de cette abstraction mathématique s'avère naturelle dans l'évolution du psychisme de l'Homme. Pi est une des plus anciennes inventions dont peut s'enorgueillir l'esprit humain.
Que Pi ne soit pas un nombre fini signifie l'impossibilité de calculer les surfaces ou volumes l'incluant dans leurs formules avec toute la rigueur, toute la précision que l'on voudrait. Les résultats, quel que soit le nombre de décimales, ne seront qu'approchant.
Cette impossibilité d'un calcul exact incluant Pi tendrait à démontrer que le cercle n'existe pas dans la nature. Ce n'est qu'un concept engendré par le raisonnement humain qui se base sur la seule perception des sens.
L'implication de Pi dans les calculs confirme que les formes géométriques mesurées par ce nombre sont des concepts humains qui plaisent aux sens et rassurent le mental. On peut même induire que, dans la réalité spatiale et temporelle, le cercle parfait, tracé sur un support objectif et matériel, est un cliché imaginaire.

La découverte de Pi

La formule la plus ancienne, et donc la plus simple, paraît avoir été le chiffre 3. Puis vint l'époque des constructions, c'est-à-dire de la prise de conscience de l'espace et du volume. Ce fut la formule pyramidale 22/7 dont les décimales suivent un rythme de 6 chiffres (3,142857) revenant indéfiniment.
On doit à Archimède (287-212 av. J.-C.) l'introduction en mathématique d'une formule algorithmique tendant à résoudre le nombre Pi.
Depuis 1716, on sait que Pi n'est pas le résultat de deux nombres entiers. Il s'ensuit que plus grands seront les nombres du quotient, plus précises seront les décimales.
Par exemple, parmi les formules les plus simples, citons :
Pi = 22/7 = 3,1428571, puis 333/106 = 3,1415094 et 355/113 = 3,1415929.
D'autres formules font intervenir plusieurs éléments, les rendant plus complexes, sans être pour autant plus précises. Les décimales se suivent sans qu'il soit possible de prévoir la suivante. Aussi les mathématiciens qualifient-ils cette cascade hasardeuse de décimales de suite aléatoire.
Les trente premières décimales ont été célèbres jadis, lorsqu'elles étaient récitées par cœur à l'aide d'un poème. Ce moyen mnémotechnique a eu son heure de gloire. Voici un poème, dédié à Archimède, où chaque mot contient le nombre de lettres correspondant aux décimales successives.

Que j'aime à faire apprendre un nombre utile aux sages !
3 1 4 1 5 9 2 6 5 3 5
Immortel Archimède, artiste, ingénieur,
8 9 7 9
Qui de ton jugement peut briser la valeur ?
3 2 3 8 4 6 2 6
Pour moi ton problème eut de sérieux avantages.
4 3 3 8 3 2 7 9
D'autres poèmes vont jusqu'à la décimale suivante qui est un 5. Mais il est difficile de poursuivre, puisque la suivante est un zéro.
Qui n'a pas été surpris de découvrir des coïncidences fort troublantes dans la Bible ? Par exemple, dans le Livre de Job, on peut lire : "Dieu, tu dénombreras mes pas." Le nom de Job comporte 3 lettres et c'est au chapitre 14, verset 16. Or, en rassemblant ces données, on dénombre 3,1416. Il s'agit de la valeur de Pi, arrondie à la quatrième décimale.
Un certain Michaël John Pourtney mémorisa les 5.050 premières décimales de Pi. Il fut battu par un étudiant de 17 ans, Luc Lapointe, qui en ingurgita 8.756. Mais cette performance fut ravalée au second rang lorsqu'un Japonais Hideaki Tomoyori en mémorisa 15.151. Celui-ci, pendant plus de trois heures (3h02') égrena les décimales de Pi. Ce record fut officiellement constaté par trois journalistes japonais.
L'étude de la valeur de Pi est attirante par le mystère de l'apparition des décimales. De nombreuses formules témoignent de l'incessante curiosité des Hommes. Ils souhaitent découvrir la formule magique, celle qui définirait une fois pour toutes, l'utilité réelle de Pi, autrement que pour le cercle. Des mathématiciens s'emploient à déceler ne serait-ce qu'un début de cycle dans cette succession de décimales relativement hasardeuse.
Toutes ces formules permettent, encore actuellement, une approximation toujours plus poussée dans la recherche des décimales, bien que toujours sans possibilité d'en connaître la dernière qui la limiterait.

L'impossible traçage du cercle

Tout dans l'univers est mouvement. D'après cette simple observation, il est logique de déduire que le cercle tracé dans l'espace n'en est pas un. Entre le point de départ et celui du retour qui vient boucler la courbe, la Terre s'est déplacée à raison de 40 kilomètres par seconde. En outre, un certain temps s'est écoulé entre le début et la fin du tracé. Ce décalage signifie que le temps est une fonction qui doit être prise en considération.
L'image est plus expressive lorsqu'on trace un cercle sur une feuille de papier. Entre le moment où l'on commence le tracé et celui où l'on rejoint le début, il s'est également écoulé une certaine durée consécutive à son exécution. Mais de plus, ce que l'on oublie souvent, et qui tendrait à démontrer la vanité de celui qui croit encore à la perfection du cercle, est le support lui-même. L'atome est en perpétuel mouvement d'énergie. Il en résulte une confirmation de l'impossible perfection du cercle. Le papier qui sert de support au cercle n'est plus exactement semblable à lui-même, quelle que soit la vitesse à laquelle on s'efforce de tracer le cercle.
En conséquence, le cercle parfait n'existe pas, excepté peut-être dans le champ de conscience où l'imagination est reine. Toute représentation plane ou spatiale, n'est pas exactement celle prévue au départ de son tracé. Elle n'est qu'une convention humaine propre à aider son intellect. Comme l'Homme ne peut appréhender directement la Réalité, il se forge des symboles géométriques. Par conséquent, le cercle est sans existence réelle. Bien qu'il ne transcrive pas la réalité, il n'en reste pas moins un puissant symbole.
Lorsqu'on croit tracer un cercle sur une surface plane, on crée en vérité une spirale à trois centres : l'un est spatial, le deuxième est temporel et le dernier, vibratoire.
Reprenons l'analyse en résumant clairement la raison pour laquelle le tracé d'un cercle est une spirale à trois centres. Depuis le point de départ du tracé d'un cercle jusqu'au point de retour qui le rejoint pour le fermer :
a) La Terre s'est déplacée dans l'espace à raison de quarante kilomètres par seconde ;
b) un certain temps s'est écoulé entre le début du tracé et sa fin ;
c) le support, quel qu'il soit, étant constitué d'atomes et d'électrons, est en perpétuel mouvement d'énergie vibratoire.
Une spirale se déploie, jusqu'à son épuisement cinétique, selon l'une des cinq caractéristiques suivantes :
1 - Sur un seul plan se concrétise une spirale dessinée sur une feuille de papier, c'est une spirale qui s'élargit de plus en plus.
2 - Les spires ont toutes le même diamètre, comme dans un tube, mais s'avancent continuellement en occupant le maximum d'espace en avant.
3 - La spirale procède depuis l'élargissement des spires -1- et de l'avancement -2-. C'est la spirale cosmique qui part d'un point et se déploie vers l'infini.
4 - Le sens de la progression de la spirale est inversé. Les trois précédentes formes de spirales peuvent être développées suivant l'inversion présente.
5 - La spirale spatio-temporelle ne peut se concevoir que subjectivement. Il suffit d'établir un point. Le temps qui passe projette ce point dans le passé.
En résumé, les forces génératrices de l'impossibilité du traçage d'un cercle parfait sont : le temps, l'espace et les modifications atomiques.

Une spirale à trois centres

Le cercle est un symbole façonné par l'être psychique afin de ramener le concept de l'infini à une notion plus assimilable à la compréhension humaine.
L'Homme n'est pas encore capable d'effectuer le calcul d'une spirale vibrante de vie, comme lui montre pourtant la nature vivante. Dans la création, tout est régi par des forces de vie qui s'analysent par les nombres.
Depuis Einstein, on sait que les rayons de la lumière sont courbes. En effet, d'une part, l'univers créé manifeste un espace courbe, d'autre part, les rayons lumineux qui proviennent des étoiles, sont infléchis par une masse planétaire. Mais l'essentiel de cette courbure réside dans la conséquence du perpétuel mouvement dont l'univers est animé depuis les galaxies jusqu'aux atomes.
Le centre de la spirale cosmique est une dynamique qui perpétue les trois vecteurs énergie-espace-temps. Or, pour que s'engendrent l'espace et le temps, l'énergie est nécessaire afin de les structurer. L'éternelle impulsion en est une modulation vibratoire dont les paramètres seraient susceptibles d'être découverts grâce aux décimales de Pi.
Il semble que la Réalité pourrait être accessible à partir de trois centres :
- L'espace et ses distances ;
- le temps et ses durées ;
- l'énergie et ses vibrations.
Alors que les rythmes incluent l'espace et le temps, l'être unifie les trois centres de la spirale cosmique dans son point de conscience.
En extrapolant, quand l'Homme parviendra, dans quelque temps futur, à intégrer ces trois centres dans ses aspirations mystiques, il sera accepté parmi les êtres vivants d'ailleurs, il lui sera possible d'accéder aux mondes, voire aux civilisations extra-terrestres.
Ainsi, la raison admet plus facilement comment la spirale cosmique, à partir de son triple centre, se déploie par son énergie vers l'infini et dans l'éternité.
L'idée que Pi pourrait développer une spirale, est renforcée par une bien curieuse observation en relation avec la religion, que rapporte une revue pourtant scientifique.
"Le numéro d'octobre 1965 d'Euréka, la revue annuelle des étudiants de mathématiques de l'université de Cambridge, indique une étrange relation entre les 7 premières décimales de Pi. Cette relation associe les trois nombres mystiques de la numérologie médiévale (1 pour Dieu, 3 pour la Trinité et 7 pour le nombre de jours de la création du monde) aux trois nombres parfaits (c'est-à-dire les nombres égaux à la somme de leur diviseur, le 1 compris). En effet, la 1ère décimale de Pi est le plus petit nombre parfait, les 3 premières décimales (141) s'additionnent pour donner 6, le deuxième nombre parfait, et les 7 premières décimales (1415626) s'additionnent pour donner 28, le 3è nombre parfait."
En attendant l'implication mystique de Pi dans le progrès spirituel humain, il s'avérerait possible, à partir de la triplicité du centre de la spirale cosmique créatrice, de définir dans l'univers des projections et des dispositions spatiales ou temporelles. L'outil mathématique qui le permettrait semble résider dans l'utilisation de la valeur de Pi. L'incommensurabilité ainsi que l'analyse de cette spirale cosmique nous prépareraient-elles à ce nouveau concept ?
En considérant la prolifération des formules pour calculer les décimales de plus en plus nombreuses de Pi, on peut se demander dans quelle mesure l'Homme n'a pas inventé cet étrange nombre pour le plaisir de son intelligence ou pour son orgueil.
Les ordinateurs nous habituent à des nombres aussi longs que fastidieux. Nous avons relevé dans un livre les mille premières décimales de Pi. Un chercheur en a développé un million. En 1989, leur nombre, calculé par un ordinateur japonais, atteint le milliard. L'ordinateur ne remplace pas l'Homme. Toutefois, il excite la matière grise des chercheurs afin qu'ils découvrent de nouvelles formules mathématiques qui soient plus facilement digérables par les circuits électroniques des ordinateurs.
Vers 1945, l'ordinateur ingurgitait des séries, de très longues suites de termes mathématiques dont la somme tend vers Pi. Les mathématiciens découvrirent ensuite de nouvelles séries convergentes vers Pi. Depuis, produire plusieurs milliards de décimales de Pi, ne relève pas même du défi, mais plutôt du jeu.
Et toujours, invariablement, aucun cycle répétitif ne se découvre dans la suite des décimales, qui semblent apparaître au gré du hasard.
C'est affolant de penser qu'un nombre puisse être infini. D'autres nombres existent qui ne tombent pas juste. Mais on y découvre un cycle qui se répète indéfiniment. Toutefois, Pi se caractérise par la disposition de ses composants.

Pi, spirale de l'univers

Une des raisons pour lesquelles les décimales de Pi sont infinies est due au principe spatial de l'univers. En effet, une spirale universelle manifestée par l'évolution des planètes, devrait nécessairement passer par tous les points de l'univers. A priori, cela semble logique, à la seule condition d'admettre que l'énergie, qui structure l'espace-temps, ait été créée dans son intégralité dès l'origine de la création. La conception de l'espace-temps résulte de la présence de l'énergie, fut-elle aussi subtile que celle qui se manifeste dans la conscience.
À vrai dire, personne ne peut affirmer que la création soit achevée. Si elle l'est vraiment, il faut que, tôt ou tard, la spirale retrouve les mêmes coordonnées, les mêmes dispositions et les mêmes conséquences évolutives de la vie. S'il en était ainsi, on pourrait jusqu'à induire que la fin absolue du cycle de la création serait susceptible de se découvrir grâce aux décimales de Pi.
Dans le cas où les décimales de Pi auraient une limite, celle-ci devrait se confondre avec la fin de l'univers actuel. Il semble bien que sa manifestation soit cyclique, ainsi que tendraient à le concevoir les études scientifiques contemporaines, tout comme le souffle de Brahmâ de la philosophie hindouiste le laisserait supposer. Car, au terme du Respir, tout serait accompli. Le cycle s'achèverait par la réapparition dans les décimales des premiers chiffres, soit 3,1416 ... 6141.



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Message  Plume Ven 5 Juil 2019 - 10:31

Stian
Je suis complètement "bluffée" par ce que tu nous apportes en connaissances sur ce sujet.

Je vais mettre ci-dessous une partie de message daté du 27/05/2019 que les Intelligences divines m'ont dicté. Je précise que c'est à la suite d'un autre sujet qui m'a laissée perplexe.

Etant de nature curieuse dans le bon sens du terme, j'ai été perçu dans mes réflexions sur les nombres.

"[i]Est-ce qu'une série de chiffres peut réellement apporter la solution à tous les problèmes rencontrés dans la Société humaine ? Tu réfléchis beaucoup, tu t'interroges. Tu te trouves devant une incompréhension.

Cependant, dans l'Ordre de l'Univers, les nombres ont été créés pour définir les différents niveaux de l'évolution dans tous ses cycles. L'humain ne peut vivre sans les chiffres.

Depuis la Nuit des Temps, tout est basé sur les chiffres, les nombres, les dimensions, les datations, etc ....

La suite des nombres entiers reste une énigme. Des savants mathématiciens ont découvert des méthodes différentes qui servent aujourd'hui au calcul de la scission moléculaire, des atomes, des protons, neutrons, et j'en passe.

Tout concourt à être évalué dont le but est toujours de se situer dans les Temps Passés - Présents - et A Venir. Délimitation de l'espace mais de nombreuses questions restent à venir. Questions pas encore posées mais que Nous connaissons. Ne sont pas encore nés ces Etres du Futur qui élargiront les Connaissances dans divers domaines de la communication terrestre et extraterrestre ; mais cela est une autre affaire. "
/i]

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Message  djéhouti Dim 7 Juil 2019 - 22:50

.
Pi est un nombre essentiel en géométrie, puisqu'il consiste en un rapport comme Phi, le fameux nombre d'or. Tous deux sont utilisés en architecture pour créer des formes qui génèreront des vibrations particulières, en fonction du tellurisme du lieu, et de l'énergie provenant du cosmos.

Le grand Pythagore, initié aux mystères égyptiens et chaldéens disait:  " les nombres ne sont pas des quantités, mais des qualités."

En cela chaque nombre est un potentiel d'énergie dû à sa forme propre, notion que l'on connaît bien en radionique ou science des ondes de forme. Il est envisageable que les associations de nombre permettent de générer des fréquences à usage particulier, telles les associations de nombre proposées par Grigori GrabovoÏ....

Après il faut prendre conscience que nous évoluons dans un système en base 10, sur lequel sont fondées toute nos mathématiques actuelles. Cela peut être considéré comme restrictif puisque nous évacuons les possibilités offertes avec un système en base 12 ou en base 20.

Par exemple, Pi en base 10 équivaut à 3.1416 dans sa version raccourcie, alors qu'en base 12 il équivaut à 3.1848, et à 3.243F en base 16.......il est donc possible que sa valeur symbolique ne soit plus du tout la même selon le cadre considéré.

Par analogie, nous pouvons limiter un être humain à sa dimension physique simple, ou considérer qu'il occupe également un espace dans d'autres dimensions vibratoires, et qu'il s'étire dans des aspects de moins en moins denses, vers des plans supérieurs de conscience qui ont autant de réalités d'existence que la 3è dimension qui caractérise la matière.

C'est en cela que la période actuelle que nous vivons est intéressante car elle demande d'abandonner la plupart de nos croyances, de nos formatages, des limitations de notre mental conditionné, et de substituer à l'analyse rationnelle, le ressenti personnel profond du coeur, qui permet de développer une vision différente et donc une perception différente du monde qui nous entoure, et notamment toute sa dimension invisible au regard conventionnel, mais ô combien réelle.

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Message  Stian Lun 8 Juil 2019 - 11:31

Un grand merci à Djéhouti pour son point de vue complémentaire sur PI. Dans ma synthèse, composée depuis longtemps, je n’avais pas envisagé d’appliquer PI à d’autres bases que le 10. Pourtant, au cours des temps, les civilisations ont utilisé d’autres bases. Les Incas utilisaient la base 20, les Hindous, la base 60, etc.
En base 10, PI "est un nombre incommensurable, il est infini, transcendant et même irrationnel". Je n’ai pas la possibilité, ni la capacité d’appliquer PI à partir d’autres bases. Certes, ainsi que l’écrit Djéhouti, "Pi en base 10 équivaut à 3.1416 dans sa version raccourcie, alors qu'en base 12 il équivaut à 3.1848, et à 3.243F en base 16… il est donc possible que sa valeur symbolique ne soit plus du tout la même selon le cadre considéré." Je reconnais qu’il serait intéressant de savoir si, appliqué sur d’autres bases que 10, PI garderait ses extravagantes qualités ; resterait-il incommensurable ? En nous cantonnant au dénaire de Pythagore, ne nous fourvoyons-nous pas ?
Pourtant, au fond de moi, je pense que les recherches devraient s’effectuer à partir du nombre 3, base de la spirale cosmique : l'espace et ses distances, le temps et ses durées, l'énergie et ses vibrations.

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Message  Plume Lun 8 Juil 2019 - 12:00

Sujet qui demande encore bon nombre de réflexions à développer. scratch Une petite histoire de PI 3.14  3690457425

Merci pour vos interventions des plus intéressantes et que je lis avec beaucoup d'attention.

Je vais finir par les imprimer pour pouvoir les lire plus facilement.

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Message  djéhouti Mer 10 Juil 2019 - 9:21

.
Pour info, je partage cette information de Kryeon transmise par Lee Caroll, et qui propose une approche de la numérologie qui m'inspire assez:


Réponse de Kryeon à une question de Martine Vallée sur le nombre 7.

Ta conception du nombre 7 en tant qu’énergie est trop simpliste et linéaire. Penses à l’hologramme qui doit contenir tous les nombres.
Où donc le nombre 7 s’y place t’il ?
La réponse c’est qu’il fait partie du système numérologique. Aucun nombre n’a en soi une énergie particulière. Les nombres sont liés très fortement entre eux, à ceux qui les précèdent ou les suivent, et aussi à ceux auxquels ils sont combinés.

Par exemple, le nombre 7 utilisé avec le nombre 4 crée le nombre 11. Le nombre 4 représente l’énergie de la stabilité et de Gaïa. Par conséquent, on peut voir que la stabilité (4) plus la divinité (7) créent l’illumination (11).

Les nombres doivent toujours être vus en groupes, avec ceux qui sont au-dessus ou en dessous. C’est la vraie numérologie quantique.
Le véritable nombre créateur des énergies fondamentales universelles, y compris toutes les mathématiques quantiques de l’univers est en fait le nombre 12.
Or, 12 n’étant même pas un nombre en numérologie, vous vous demandez sans doute comment cela se peut.
En réalité, il « indique » les autres dont il est la combinaison.
Voyez-le comme la divinité (7) plus le changement (5), ou comme l’énergie catalytique (3) voisine d’un nouveau commencement (1).
Vous voyez, il n’est pas tridimensionnel, c’est un cercle.

Le nombre 7 est comme un modificateur des énergies fonctionnant avec d’autres nombres et des énergies à améliorer, quoique vous examiniez.
Il y a ici beaucoup d’invisible.
Par exemple, vous dites qu’il y a 7 chakras. En réalité il y en a douze, mais vous ne voyez que les sept qui sont dans la tridimensionnalité.
Vous demandez vous pourquoi il y a douze méridiens dans le corps et seulement sept chakras ?
C’est qu’il y en a plus que vous ne le pensez. Il y a douze maisons dans l’ancien système astrologique, douze tonalités dans l’échelle musicale, et le nombre douze est lié également à de nombreuses autres vérités universelles.

Je vous le précise uniquement pour que vous compreniez que le nombre 7 n’est aucunement fondamental. Il représente néanmoins la divinité que vous êtes si nombreux maintenant à découvrir, et il est donc un modificateur important de l’énergie qui l’entoure.
Le 7 et le 11 sont les nombres de l’époque.
Additionnez les (7 + 11) et vous obtiendrez le nombre de l’achèvement. Vous voyez comment cela fonctionne ? L’ensemble est toujours plus grand qu’un seul nombre…

…Je mentionne à chacun de vous qu’il doit voir autrement tout le scénario de la manifestation.
Le vrai nombre de la manifestation est le 8, non le 7. Mais un 8 peut symboliser la divinité (7) plus un nouveau commencement (1). Vous considérez le 7 comme le plus important, mais ce n’est pourtant pas le cas….
….Encore une fois, cela ne se situe pas dans la tridimensionnalité et il ne s’agit pas de se concentrer sur un nombre en particulier.

Pensez quantique.


Extrait de 2010 – Transition –redéfinir la dualité

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